Akhannouche, l’Istiqlal et l’éducation nationale 

Qu’en est-il de l’éducation nationale ?

Les architectes de la coalition gouvernementale, Akhannouche et compagnie, doivent être conscients que s’ils songent à attribuer le portefeuille de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique au parti Istiqlal, sera un coup de théâtre, et un retournement de situation brutal et inattendu, voire un abandonnement flagrant de l’un des précieux ateliers royaux par excellence.

Le corps de l’enseignement ne peut plus assumer un autre massacre à la manière de l’ex-Azzeddin El-Iraki, qui a annihilé l’éducation dans ce pays et qui, à cause de sa politique sans fin, le Maroc se classe au dernier rang des pays dans le domaine de l’éducation. L’indice mondial de la qualité de l’éducation publié par le Forum mondial de Davos a révélé le faible classement du Maroc qui s’est classé au 101e rang mondial sur140 pays.

Ses péchés ont pillés deux générations, qui ont complétement perdu la boussole, et il fallait attendre la nomination d’Omar Azziman à la tête du Conseil Supérieur de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche Scientifique, pour remédier aux péchés inédits commis par le Parti d’Allal El- Fassi.

le Maroc se classe au dernier rang des pays dans le domaine de l’éducation. L’indice mondial de la qualité de l’éducation publié par le Forum mondial de Davos a révélé le faible classement du Maroc qui s’est classé au 101e rang mondial sur140 pays.

Souvenez-vous que les problématiques de l’éducation nationale remontent à une période antérieur avant même que le parti de l’Istiqlal n’assume le portefeuille de l’éducation en 1977. Tout a commencé avec la grève des étudiants en 1965, suivi de l’arabisation de la philosophie en 1973, et l’arabisation de l’Histoire et géographie deux ans plus tard (1975).

Et c’est au début des années soixante, que l’enseignement du français a diminué, de sorte qu’avant, le français était enseigné pendant 5 ans au primaire, pour arriver à ce nombre médiocre d’ans d’enseignement du français au primaire.

On espère pas corriger l’histoire …mais ne répétez pas les même  péchés.. c’est la moindre des choses.