“C’est la Nouvelle-Zélande, parce qu’elle est dans l’hémisphère sud et elle a des conditions climatiques qui sont assez proches de celles de la France. S’il y a une épidémie en Nouvelle-Zélande cet été (le pays, dans l’hémisphère sud, va entrer en phase hivernale, ndlr), on peut redouter qu’il y ait le même type d’épidémie l’hiver prochain en France parce que c’est comme ça que ça se passe dans la plupart des infections respiratoires”, a-t-il ajouté. 

“Personne n’est capable de prédire l’avenir” 

Pour autant, Didier Raoult a une nouvelle fois assuré qu’il doutait d’un retour en force de la maladie, bien que selon ses propos, “personne n’est capable de prédire l’avenir.”

“Raisonnablement ça doit plutôt se passer comme les autres coronavirus, un pic épidémique puis quelques cas sporadiques, et puis on verra ce qui se passera après. […] Il se peut que ce soit comme les autres coronavirus, qu’il y ait un nouveau pic épidémique au moment de l’hiver ou du printemps”, analyse-t-il encore. 

En ce qui concerne la Nouvelle-Zélande, le pays océanien avait affirmé, par la voix de sa Première ministre, Jacinda Ardern, avoir éradiqué le virus. De fait, toutes les restrictions nationales qui avaient été décrétées pour lutter contre le Covid-19 ont été levées. Il s’agissait du premier pays au monde à tourner officiellement la page de cette crise sanitaire.