Horizon d’attente

Seriez-vous étonné le jour de l’ouverture du Parlement marocain qui coïncide avec le deuxième vendredi d’octobre 2021 ?

Vous examinerez de près l’identité de ceux qui siégeront aux places occupées par le Parti de la justice et du développement (PJD)… Une grande partie d’entre eux, sont des mercenaires de la politique, et certains d’entre eux ont été condamnés et empêchées par le ministère de l’Intérieur par voie d’instructions en 2011, de se présenter aux élections.

quant à ceux qui s’opposent au Parti de la justice et du développement, sachez que la scène politique est désormais free en l’absence du PJD

Il est également fort probable que le citoyen se sente plus surpris après 17jours de la formation des conseils communaux, lorsqu’il expérimentera les profils de ceux qui forment ces conseils communaux.

Pour ceux et celles qui dévisagent la lumière au bout du tunnel, et pour ceux et celles qui n’en guettent absolument rien, une question s’impose: est-ce que l’harmonie qui mariera les institutions au Maroc, à savoir le palais, le gouvernement, le parlement, et les conseils territoriaux contribuera-t-elle à créer l’atmosphère pure et parfaite pour une bonne relance économique ?

Cette harmonie conduira-t-elle à la réalisation des promesses avancées par les partis qui ont animé la campagne électorale, y compris les promesses des partis au pouvoir?

En tout cas, quant à ceux qui s’opposent au Parti de la justice et du développement, sachez que la scène politique est désormais free en l’absence du PJD.

Quant à ceux qui se sont opposés aux politiques d’appauvrissement qui étaient exercées sous l’égide du défunt parti, sachez que la pauvreté est toujours endémique ;

Quant à ceux qui ont défendu les libertés digérés par le même parti à la tête du gouvernement, sachez que ces libertés sont toujours bafouées, et que les détenus politiques, et les réfugiés politiques, affrontent leurs destins à la que leu leu.