A vrai dire : Le PPS parachève ses instances dirigeantes

Saoudi El Amalki

Le comité central du Parti du Progrès et du Socialisme vient de tenir, ce samedi 7 janvier au siège national du parti, sa seconde session, après la tenue de la première, en clôture du 11ème congrès, consacrée à l’élection du SG, Nabil Benabdallah, en novembre dernier.

Ce rassemblement de l’instance suprême, entre la mandature des assises nationales de quatre ans, avait pour ordre du jour, deux points à savoir l’examen et l’adoption du règlement intérieur et l’élection des membres du bureau politique.

Au préambule de cette rencontre, le secrétaire général du parti a passé en revue les faits marquants du succès retentissant du 11ème congrès, au niveau de la cérémonie d’ouverture de ses travaux, de notoriété des impressions générées et de qualité de ses thèses.

Il y a lieu donc de s’en réjouir, à plus d’un titre, poursuivit-il, tout en exhortant ce beau monde de s’atteler à traduire ce triomphe en stimulus pour davantage de mobilisation à déployer en vue de relever cet outil partisan à hauteur de l’étoffe politique qu’on ne cesse de maintenir au sein de l’élite nationale…

C’est alors dans cet esprit d’exultation, mais aussi d’aspiration à des lendemains meilleurs qu’on procédait à l’élection des membres du bureau politique de 39 camarades dont 18 formant le secrétariat national permanent.

Il faut bien dire que l’opération de vote au scrutin secret, s’est déroulée dans un climat de transparence et de communion, illustrant ainsi l’unité et la cohésion des rangs du parti. Pendant que le comité central élisait les membres de cette instance exécutive, le conseil de présidence, structure consultative, tenait sa 1ère réunion, sous la présidence d’Ismaïl Alaoui, afin de tracer son programme d’action, selon les attributions contenues dans les statuts du parti.

Même chose pour les autres instances parallèles qui se sont réunies également pour entamer leurs tâches respectives. De bout en bout, durant cette journée empreinte de convivialité et de militance, il convient de mettre en évidence la réussite de ce nouvel exercice démocratique au bout duquel le parti œuvrait pour revigorer son énergie militantiste au service des causes suprêmes du peuple et de la nation.

Il va sans dire qu’aussi bien le comité central que le bureau politique du parti, une nouvelle jeune génération a accédé à la direction nationale, ce qui est assurément de bon augure dans ce sens où le parti constitue un pôle d’attraction, à travers sa ligne politique éprise de clarté et de réalisme, son patrimoine progressiste de valeur, la perception positive qu’il dégage auprès de larges composantes de la société marocaine… Et vogue le navire pour un parti de référence !

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